C’est une alerte pour informer l’opinion publique sur le jeu dangereux et le rôle assez nocif que s’est fixé Alpha Boubacar Bah, le démissionnaire de l’UFDG.
Ce mytho d’une dangerosité extrême se fait passer pour un symbole à l’UFDG alors qu’il est loin de la réalité ou de ses propres illusions.
D’abord, au-delà des bruits que lui-même Alpha Boubacar ne cesse de faire traîner pour s’octroyer le luxe mensonger d’un personnage incontournable à l’UFDG, il est d’impératif absolu de faire un bilan de son intelligence et s’interroger s’il ne serait pas atteint d’une crise d’esprit et de mémoire.
Ensuite, faire passer un tel type comme un héros est une grave erreur d’appréciation en politique. Car il n’est ni ce symbole pour lequel il veut se faire passer ni ce personnage clé qu’il veut incarner encore moins cette arme redoutable qu’il se dit être.
A l’UFDG, Alpha Boubacar n’a jamais inspiré confiance à qui que ce soit. C’est pourquoi, il n’a jamais joué les premiers rôles dans le parti, mais, il a été affecté et relégué au second plan comme un pneu secours ou un réserviste.
L’autre vérité, c’est son bas niveau et d’ailleurs, il a été beaucoup plus un crieur public, un harangueur de foule qu’un véritable cadre. Partout où ça criait, ça bavardait et ça bruitait, lui Alpha Boubacar Bah était présent et jouait bien ces rôles dévolus aux gens de son niveau et de sa trempe.
Et pire, le rôle de pièce de rechange qu’il a toujours été n’a jamais été satisfaisant. De directeur adjoint de la communication au poste de Conseiller sans portefeuille auprès de Dalein, Alpha Boubacar n’a jamais été utile à aucun niveau. Même son militantisme était suspicieux et manquait d’engagement ferme.
Et enfin, qu’Alpha Boubacar Bah accepte de dire les vrais motifs de son départ de l’UFDG. Ses frustrations et ses jalousies. Contrairement à la posture d’homme sauveur qu’il s’est gracieusement donnée, il n’a jamais digéré qu’un Ousmane Gaoual Diallo soit son patron à la direction de la communication du parti. Il s’attendait plutôt à une promotion après le départ de Souleymane Thiâ’nguel. Malheureusement, son niveau faisant défaut et l’intérim au poste mal assuré ont plaidé en faveur de Gaoual.
Mon conseil pour lui, qu’il accepte de se remettre en cause et de retourner sur le banc. Longtemps qu’il roulera avec sa bosse d’incurie intellectuelle, il n’aura jamais un bon emploi.
Qu’il accepte de sortir de ce jeu dangereux et rôle nocif en faisant croire qu’il est un chevalier blanc et que son départ de l’UFDG facilitera la libération des prisonniers politiques. C’est du pipeau et du gros n’importe quoi. Son appréhension simpliste de la situation prouve déjà qu’il sert de mauvais pion dans un jeu de ‘’Grands’’ loin de son intelligence.
Ses multiples rencontres avec les sages, la coordination et autres gros bonnets du foutah ne sont qu’une perte de temps, personne ne croit à ses élucubrations. Il assez faible d’arguments pour faire courir des suspicions de nature à discréditer son ancien bienfaiteur.
Si toutes les informations qui courent derrière lui Alpha Boubacar Bah s’avéraient, il serait mieux pour lui de mettre un peu d’eau dans son vin. Car, il n’a jamais été ni quelque chose ni quelqu’un à l’UFDG. Son départ est une grande délivrance pour le parti et, il était devenu un décor encombrant dans l’entourage de Dalein.
Qu’il se rappelle, quand il scandait ‘’ Cellou Dalein Oyé !!!! Cellou oyé !!!’’.
Bref, c’est son seul et plus grand service rendu à l’UFDG.
Là où, les autres ténors du parti ont courbé l’échine, il serait d’un miracle impossible de réussir sa mission de déstabilisation.
C’est plus fort que lui !
En voulant coûte que coûte gagner la confiance de ses nouveaux amis, il risque de briller faiblement avec ses nouvelles options de séduction.
Au lieu d’inspirer confiance, sérénité et assurance dans son nouvel entourage, il éprouvera crainte, manque de loyauté et manque de confiance. Et il perdra pour toujours, comme ceux qui l’ont essayé ou fait avant lui.
Wassalam !
Oumar Sylla.