Avant, l’immigration clandestine n’intéressait que les hommes, mais on constate depuis quelques années que les femmes s’intéressent de plus en plus à ce trafic mortel.
On voit des femmes quitter leurs familles et prendre le chemin périlleux de l’immigration clandestine. Des êtres vulnérables qui sont pour la plupart du temps victimes d’abus de tous genres, tout le long du trajet. Certaines contractent des MST ou des grossesses indésirées à la suite de plusieurs viols ou rapports non consentis.
Certaines femmes vont jusqu’à emporter avec elles leurs enfants dans l’espoir de bénéficier des allocations familiales, une fois rentrées en Occident. Elles exposent leurs enfants aux dangers du désert, à la menace des djihadistes et aux affres de l’océan pour aller se retrouver dans les rues des capitales européennes.
Nombreuses sont celles qui s’adonneront à la prostitution afin de subvenir à leurs besoins, les rues des capitales occidentales pullulent de prostituées africaines.
La Méditerranée est devenue un véritable cimetière de femmes et d’enfants, une prise de conscience s’avère indispensable. Tant qu’il ya la vie il ya de l’espoir, dit-on ! Nos vies représentent le plus grand investissement, si nous la perdons, nous perdons tout.
Maka N’denda Bah