Pour la place au CNT des attaques continuent entre les journalistes sur les réseaux. Une action que regrette le journaliste Aly Badara Akila qui vient de réagir dans nos micros.
Très déçu de cette attitude de ses pairs, cet éditorialiste demande aux camps rivaux de mettre balle a terre et d’accepter une prise de contact pour mettre fin aux querelles.
‹‹ Écoutez ! Moi je ne suis pas dans un débat de passion ou de reconnaissance. Jamais Je ne peux l’admettre parce que moralement ça va m’affecter. Je ne souhaite pas qu’il y ait une telle insulte entre nous les confrères. Mais a l’allure où vont les choses, je crois que la bassesse commence à atteindre son paroxysme, donc arrêtons ces agissements ››, lance Akila.
‹‹ je n’attaque personne. Oui ! Personne mais sortons un peu dans ses propos priatiques et sordides. Les réalités sont en face de nous. Je ne veux même pas en parler parce que je sais que le SPPG mérite sa place dans le CNT. J’accepte que les journalistes se défendent. Mais, chacun est libre aussi de son opinion. Respectons nous. Ce sont nos aînés, on doit apprendre des bonnes leçons venant d’eux. S’ils s’insultent comme ça, on ne peut rien comprendre ››, déclare Aly Badara Akila.
En ce qui concerne son soutien au SPPG, cet éditorialiste dit avoir apporter son soutien au syndicat de la presse privée qui pour lui, est une structure qui s’est mise sur tous les fronts pour défendre les journalistes au temps d’Alpha.
‹‹ a une analyse courte, je reste et demeure le SPPG. C’est une structure qui a bien sa place dans le CNT. Elle s’est battue pour les journalistes inquiétés dans ce pays. Nous devons si, nous jeunes journalistes voulions avoir une certaine protection, c’est d’accompagner celui qui peut être un ange gardien pour nous. Ça, je crois c’est le syndicat de la presse privée ››, sonne t-il comme le glas.
La rédaction !