En 2019, des acteurs et actrices de la société civile avaient entamé les plaidoyers pour demander la révision de la L/2005/013/AN du 04 Juillet 2005 fixant le régime des associations en Guinée. C’est dans cette optique que, ces acteurs de la société civile, ONGs et défenseurs des droits humains se sont penchés le 1er et 2 février 2022, sur la question de la revison de loi L/2005/013/AN du 04 Juillet 2005 fixant régime des associations tout en espérant que les membres du CNT seront sensibles à leurs demandes.
Pour ces acteurs, l’avènement du Comité National du rassemblement et le développement ( CNRD), est une opportunité aux associations des ONGs qui veulent compter au conseil national de la transition pour obtenir gain de cause.
« Aujourd’hui, on pense que le contexte est favorable et on compte commencer des plaidoyers à l’endroit des autorités du CNT pour que cette loi soit adopter et promulguer pour assurer la liberté d’association », a indiqué Souleymane Sow directeur exécutif d’Amnesty international Guinée.
Ces deux jours ont été sanctionné par un atelier de partage dans le cadre de poursuivre des activités du processus de révision et d’adoption de la nouvelle loi .
Les associations des ONGs se battent pour un idéal commun , leur permettant d’être opérationnel sur le terrain sans aucune contrainte administrative.
« Nous avons fait une consolidation des différentes contributions qu’il y a eu à l’intérieur du pays ou à Conakry qui nous permet d’avoir nos recommandations dans le cadre de révision de cette loi L013», a souligné Fatou Souaré Anne directrice exécutive de l’ONG wafrica Guinée.
« Le droit d’association est aussi réglé par le code civil. Maintenant la loi LL013 était très (…) finalement sur l’activité des associations des ONGs.
Ce collectif espère que les attentes exprimés au cours de ces deux (2) jours de partage soient prises en compte par les autorités.
Djiwoh Bah pour GS