Dans une de ses sorties, le procureur de la cour d’appel, Alphonse Charles Wright a demandé à tous les tribunaux d’être prêt si, la haute autorité de la communication arrive à mettre le nom de ses journalistes sur la place publique pour des poursuites judiciaires.
Face à cette situation qui inquiète les journalistes, cet analyste politique donne raison au syndicat de la presse privée et décide de mettre certains points.
‹‹ j’ai écouté M. Charles de la cour d’appel qui a fait sa sortie pour mettre les journalistes en garde. J’ai vu un Charles très comique parce qu’à le voir, on sent que son poste l’expose de plus. J’ai mal parce que je parle de lui ainsi, mais qu’il comprenne que nous journalistes nous sommes là pour ce peuple. Nous ne pouvons en aucun cas inciter à la révolte. La HAC après son communiqué, on vous voit faire cette sortie, mais c’est mal de connaître les journalistes. Poursuivez, comme ça on saura si un monde sans informations ne serait pas un monde d’aveugle. Si, vous avez donné cette maison de la presse aux journalistes pour leur faire du mal, détrompez vous parce que ça ne marchera pas. Vous voulez devenir Sidy Souleymane N’diaye le sur plus ? ››, déclare Aly Badara.
Plus loin, Aly Badara va loin pour dire que c’est ce qui a fait que le régime Condé a perdu de bataille face à la presse.
‹‹ Alpha Condé ce qui a joué sur lui c’est ça. Il a voulu détruire la presse pour protégé les défaillances de son régime. Nous autres, nous respectons et respecterons l’éthique et la déontologie dans notre métier. Mais, pour dire que les journalistes seront poursuivis par ci, par là, pas de problème nous attendons avec les bras ouverts parce que dans aucun média, il n’y a eu incitation. L’heure est grave, très grave. Le Syndicat de la presse privée aura son mot à dire mais aussi aux journalistes d’acheter les cartes pour se faire syndiqué. On tolérera plus de bêtise autoritaire nous journalistes et puis Amoulanma ››, réplique Aly Badara.