Hier, mon pays, votre pays, notre pays a subit une scène spectaculaire, où un poignet de sbires à travers un ordre venant de firmament a joué au scandale défigurant tous vos actes magnanimes posés jadis dans un laps de temps.
M. le président, quand un régime est à la quête de crédit sur l’échiquier, on doit éviter tous les chemins qui mènent vers au dérapage.
M. le président, je ne sais quoi, à cause d’un truc si banal, on active une force publique avec tous ses manquements de professionnalisme avérés pour aller arrêté un citoyen ?
M. le président, savez-vous que notre quiétude sociale est désormais menacée et l’image de notre pays est ternie en matière de droits de l’homme pour ces cas de figures ?
M.le président, on a comme l’impression que les anciennes pratiques que vous avez tant dénoncé redeviennent bis alors que notre pays serait sur la sellette dans les prochains mois.
Notre chère patrie mérite mieux que ça.
Prenez votre responsabilité avant qu’il ne soit trop tard, car le temps est le meilleur juge.
Par Sylla, penseur libre.