Ce qui se passe aujourd’hui sur l’axe est lamentable. C’est désastreux et ça nous donne a réfléchir sur beaucoup de choses. Aujourd’hui, nous vivons dans un État où, la peur de vivre commence à se faire sentir sur une zone de la capitale. Sur cette zone, nous sentons une descente musclée et puis avec des armes alors que c’est bien d’autres guinéens qui vivent aussi de ce côté. Aujourd’hui, l’axe est victime d’une répression sanglante. C’est une zone qui doit être la première a négocier, a parler de la Guinée. Elle ne doit plus souffrir, mais très fort malheureusement, les hommes changent et l’État reste toujours le même.
L’était doit se ressaisir. On ne peut pas parler de paix, alors qu’une autre zone est marginalisée. Ces descentes en répétitions, des arrestations arbitraires, des bastonnades, des familles terrorisées, traumatisées, ne fera jamais de notre État un État immaculé. L’heure a laquelle nous sommes, le pays n’a pas besoin de retourner vers le chaos. Nous devons faire en sorte que le pays se stabilise. Mais, si toute fois, ceux censés nous gouverner, sont les premiers à faire des comportements peu honorable, comment on va dire cela ? Aujourd’hui, l’axe vit dans une peur. Sa population est terrorisée et on peut s’attendre à tout moment. La descente des agents partout est une expression de répression. Nous avons assister à beaucoup de drames, l’État est dans l’obligation de faire le dialogue, d’écouter les Guinéens. Faire des menaces, des arrestations arbitraires a l’approche des manifestations, ne peuvent résoudre en aucun cas nos problèmes dans le pays. Nous avons besoin d’un médiateur, sinon sans quoi, le pays ne va jamais sortir de cette problématique.
Réveillez-vous !
Aly Badara Akila, journaliste !