La Guinée devient pays à revenu intermédiaire : une autre performance à l’actif du ministre Moussa Cissé sous le leadership du colonel Mamady Doumbouya.
On entend souvent les experts dire que le monde de l’économie et des finances évolue de plus en plus rapidement, et avec une bonne dose de volonté politique, les infrastructures sont, sinon le moteur, du moins les roues de la croissance économique. C’est une vérité. Le régime de la transition se distingue des autres par les actes qu’il pose. En un laps de temps, chaque citoyen a su noter le Colonel Mamadi Doumbouya et son équipe gouvernementale. Au Ministère de l’Economie et des Finances, les réussites et les succès se passent de commentaire. En effet, le ministre Moussa Cissé travaille. Il passe à l’action. Il prend des mesures économiques aux résultats prometteurs.
C’est ainsi que dès sa nomination, il a œuvré à la mise en place d’un plan de relance économique. Cela a permis à la Guinée de se hisser au rang actuel de pays à revenu intermédiaire à la satisfaction de la Banque Mondiale.
Qui peut prouver le contraire ? Quoi qu’il en soit, atteindre un tel résultat en un laps de temps n’est donné qu’aux bons et loyaux serviteurs de la République. Moussa Cissé a fait changer de statut à la Guinée. L’ancien Ministre du budget, devenu chef du Département de l’Economie et des finances a réussi à faire engranger par les régie financière de notre pays, des montants importants qui ont servi à faire accumuler des réserves de fonds qui ont permis de faire planifier et exécuter des plans d’urgence de l’équipe gouvernementale pour les besoins de développement économique et social de notre pays. Aujourd’hui, le ministre Moussa Cissé travaille au succès du schéma strict rigoureux de Planning dans l’exécution dans prévisions de la réalité des dépenses les plus productives au bénéfice du développement national.
C’est au vu de tous ces paramètres positifs et surtout de l’efficacité dans les perspectives incontournables du bien-être national que les experts de la mondiale ont noté le bond qualificatif fait par la Guinée dans le cadre de la gestion et de l’utilisation des fonds permettant ainsi au pays d’avoir des signes très positifs de croissance dans sa réalité en comparaison aux années précédentes. D’où le réajustement du niveau national du revenu par tête d’habitant.
La Guinée sort ainsi de la zone dite des pays fragiles. En retour, le financement des projets sera soutenu vu l’effort effectif dans les données claires fournies par nos instances qui pourront bénéficier avec aisance des décaissements auprès des Institutions de Bretton Woods qui demeurent indispensables pour nos différents programmes d’investissement.
Pour son équipe et lui, il n’y a donc rien de surprenant au fait qu’il que le revenu national brut soit là où il est. Parce que c’est une mesure économique qui évalue la production de la richesse nationale sur la base annuelle. Cela explique le fait que le résultat de 2023 est bien évidemment celui de l’exercice 2022. Cette évaluation que réalise la Banque Mondiale prouve à suffisance que sous le régime du Président Colonel Mamadi Doumbouya, la Guinée bouge.
L’économie et les finances de la Guinée se portent bien. A titre de rappel, notons que la croissance qui était de 4,9% en 2021 a augmenté de 5,5% alors que les prévisions étaient de 5,1%. Et le niveau d’inflation est passé de 12% à 10,1% en 2021. Ces résultats sont à l’actif de tout le staff du Ministère de l’Economie et des Finances. Et ils montrent à qui le veut que sous le leadership du Colonel Doumbouya, le pays évolue.
Tout Guinéen patriote peut en être fier et heureux de la maîtrise de l’inflation mais aussi de la maîtrise de la politique monétaire qui fait que le dollar est en dessous de 9 000 GNF.
Techniquement, les spécialistes diront que l’économie guinéenne tient bon malgré les facteurs endogènes et exogènes tels la crise ukrainienne et avant elle la pandémie de la Covid-19.
La transition guinéenne est un succès dans le domaine économique et financier. Le plan de relance économique a permis d’accentuer l’investissement massif dans les infrastructures routières qui portent la croissance. Une mesure qui a eu beaucoup d’impacts. A titre d’exemple, les routes « sont devenues, par leurs propres mérites, un pilier essentiel de notre vie économique et sociale ».
Conclusion. Depuis le 5 septembre 2021, la libre circulation des biens et services est aisée dans la capitale Conakry et les autres contrées. Le pouvoir d’achat des Guinéens a augmenté. Des restaurants de hauts standings s’installent dans la ville de Conakry. Les capitales régionales, les grandes villes, les villes et les villages du pays profond attirent du monde à l’occasion des grandes fêtes. Cela s’illustre par le cas de la Tabaski qui vient de se dérouler. Qui dit mieux ?
Par Ibrahima Diallo, journaliste et écrivain.