Est ce qu’ont peut dire que la presse guinéenne traverse un sal temps. En tout cas elle n’est pas loin du gouffre.
Après son arrestation le vendredi dernier par les éléments de l’accord brigade de recherche de kipe dans la commune de Ratoma.
Le journaliste et syndicaliste était ce lundi 22 janvier au tribunal de première instance de Dixin devant un juge audiencieux.
Après plusieurs en audience Sekou Jamal Pendessa est finalement dépose en mandat de dépôt à la maison centrale de coronthie.
Ibrahim Kalil Diallo secrétaire général du syndicat des professionnels de la presse de Guinée en compagnie de plusieurs journalistes qui sont venus marquer leur soutien au secrétaire général du SPPG parle d’une déception avant d’annoncer dans les jours avenir des actions fortes pour faire plier les autorités << C’est avec une grande déception et amertume que nous avons apris la décision liberticide qui a été prise plaçant ainsi notre camarade le secrétaire général du SPPG Sekou Jamal Pendessa en dépôt à la maison d’arrête de Conronthie.
Aujourd’hui c’est une journée noir pour non seulement la liberté mais aussi pour ceux et celles qui sont épris de paix et de justice dans notre pays , c’est une journée noir pour notre pays. Par conséquent nous en tant que garant de la liberté nous estimons que la lutte ne fait que commencé, nous allons entreprendre des actions dans les jours avenir qui vont partir de la manifestation le 30 janvier c’est déjà programmé pour durcir le ton jusqu’à la libération non seulement de notre camarade mais aussi jusqu’à la satisfaction totale des points de revendication de notre syndicat à savoir : la fin du brouillage des médias la réintégration de médias au niveau du bouquet canal et startimes mais aussi de rétablissement intégral de l’internet dans le pays.
Ils ont déclarer une guerre à la presse nous sommes prest à la mener même si c’est au prix de notre sang>>a-t-il fait savoir
Abdoul Matrud pour Guineesignal.com