Mamadou Bobo Barry notre correspondant depuis Paris.
Depuis un moment, la population guinéenne fait face à des nombreuses difficultés. Pas d’internet, pas de liberté de la presse encore moins de leaders politiques de l’opposition. Les militaires contrôlent tout et plongent les guinéens dans une extrême galère.
Peut-on parler d’une dictature hors du commun ? Peut-être oui. Pourquoi priver ses habitants d’internet ? Alors que de nos jours l’internet est un outil indispensable. Avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Les Guinéens eux ne peuvent plus profiter des ses avantages. Chaque citoyen a le droit de communiquer, s’informer, se divertir et se procurer des biens ou des services à travers l’internet.
En plus de ce calvaire, certains medias sont confrontés à des restrictions par brouillage des ondes, suspension des émissions poursuites des journalistes et autres. Une liberté de la presse hautement bafouée et méprisée pour éviter de relater les réalités du pays.
Autres, les leaders des plus grands partis politiques sont poussés à l’exile. Comme Cellou Dalein Diallo président de L’Union Des Forces Démocratiques UFDG. Ou encore Sidya Touré du parti Union des forces républicaines UFR sans oublier ceux qui sont en prison.
Ils sont arrivés au pouvoir par un coup de force le 5 septembre 2021. Depuis, le Comité national du rassemblement pour le développement CNRD est en tain d’instaurer un système en contresens de ce que les guinéens s’attendaient. Une place au désespoir prend tout son sens.