𝐀𝐟𝐫𝐢𝐤𝐢𝐧𝐟𝐨 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐬 𝐬𝐞 𝐝𝐞́𝐩𝐥𝐨𝐢𝐞 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢 𝐚𝐮 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐄́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞, 𝐝𝐞 𝐥’𝐡𝐲𝐝𝐫𝐚𝐮𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐡𝐲𝐝𝐫𝐨𝐜𝐚𝐫𝐛𝐮𝐫𝐞𝐬.
𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐬𝐨𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐄́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞, 𝐥’𝐡𝐲𝐝𝐫𝐚𝐮𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐡𝐲𝐝𝐫𝐨𝐜𝐚𝐫𝐛𝐮𝐫𝐞𝐬, 𝐀𝐛𝐨𝐮𝐛𝐚𝐜𝐚𝐫 𝐂𝐚𝐦𝐚𝐫𝐚. 𝐀𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐮𝐢, 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐥𝐥𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞 : 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐥𝐚 𝐆𝐮𝐢𝐧𝐞́𝐞 𝐧’𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐮𝐧 𝐛𝐨𝐧 𝐦𝐨𝐦𝐞𝐧𝐭 ?
𝐏𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐥’𝐢𝐧𝐜𝐞𝐧𝐝𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐊𝐚𝐥𝐨𝐮𝐦 ?
𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐬𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧𝐯𝐢𝐬𝐚𝐠𝐞-𝐭-𝐢𝐥 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐚𝐦𝐞𝐧𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐧𝐭 𝐚𝐮 𝐆𝐮𝐢𝐧𝐞́𝐞𝐧 𝐪𝐮𝐢 𝐬’𝐢𝐦𝐩𝐚𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐚𝐮 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫 ? 𝐒𝐮𝐫𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐞́𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐆𝐮𝐢𝐧𝐞́𝐞 ?
𝐀𝐟𝐫𝐢𝐤𝐢𝐧𝐟𝐨 : 𝐁𝐨𝐧𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐌𝐨𝐧𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞, 𝐀𝐛𝐨𝐮𝐛𝐚𝐜𝐚𝐫 𝐂𝐚𝐦𝐚𝐫𝐚
Ministre : Bonjour Monsieur les journalistes.
𝐀𝐟𝐫𝐢𝐤𝐢𝐧𝐟𝐨 : 𝐋𝐚 𝐆𝐮𝐢𝐧𝐞́𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐢𝐞 𝐚̀ 𝐮𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐞́𝐧𝐮𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐧𝐭 𝐞́𝐥𝐞𝐜𝐭𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐞 𝐝𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐬𝐨𝐧 𝐧𝐨𝐦. 𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐩𝐫𝐨𝐯𝐨𝐪𝐮𝐞 𝐚𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐦𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐲𝐬, 𝐬𝐮𝐫𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥𝐞. 𝐂𝐞 𝐯𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞𝐝𝐢 𝟎𝟓 𝐚𝐯𝐫𝐢𝐥 𝟐𝟎𝟐𝟒, 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐧𝐫𝐞𝐠𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞́ 𝐮𝐧 𝐝𝐞́𝐜𝐞̀𝐬 𝐚̀ 𝐜𝐚𝐮𝐬𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐧𝐭 𝐞́𝐥𝐞𝐜𝐭𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐚̀ 𝐊𝐞𝐢𝐭𝐚𝐲𝐚𝐡, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐚̀ 𝐃𝐮𝐛𝐫𝐞𝐤𝐚. 𝐐𝐮’𝐞𝐬𝐭-𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐞𝐱𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐞𝐥𝐚 ?
Ministre : En premier lieu, que la paix soit avec l’âme de la personne qui a perdu la vie. Amine.
C’est triste et affligeant. Nous ne voulons pas souhaité que cela se produise, malheureusement ça s’est produit. Le gouvernement tient à la vie de tous donc nous nous inclinons devant sa mémoire.
La demande d’électricité va trop vite, compte tenu de la largesse de l’État qui continue depuis des années à subventionner énormément l’électricité.
Cela ne se produit nulle part dans le monde. Ceux qui comparent la Guinée au Sénégal ou à la Côte d’Ivoire, qu’ils exhibent aussi les factures d’électricité et d’eau de ces 2 pays avec la même consommation en Kilowatt.
Certes il y a des tarifs sociaux, mais l’électricité doit être vendue aux coûts de production, à la limite aux ménages.
Les gens se demandent pourquoi nous manquons d’hôpitaux, de routes et d’écoles. Mais qu’ils demandent un peu combien sont dépensés comme subventions à l’électricité.
C’est à peu près 20 à 25% du budget annuel de l’État. C’est inacceptable de tout point de vue.
Je demande à la population de se calmer. Nous comprenons suffisamment leurs préoccupations et nous sommes en train de travailler avec toutes les opportunités pour améliorer la situation.
Le nouveau programme de délestage établi par EDG doit être respecté, sinon l’arrivée et le départ de l’électricité dans les ménages évolueront négativement.
Par exemple, les gens se disent oui. Le courant était coupé à 7h, mais aujourd’hui c’est à 6h ou à 5h. Ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’en fonction de la capacité journalière fournie par les barrages et thermiques, dès qu’on dépasse cela, il faut rattraper.
Le lundi de Pâques, il y a de l’électricité en permanence, mais cela n’était pas prévu dans le plan. Donc, il faut pouvoir rattraper en grignotant sur les heures. Le jour de la fête de ramadan, il y aura également de l’électricité en permanence, mais il faudra payer pour cela en récupérant des heures supplémentaires de pompage.
Il est nécessaire d’expliquer tout cela à la population.
𝐀𝐟𝐫𝐢𝐤𝐢𝐧𝐟𝐨 : 𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐚 𝐫𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐧𝐧𝐨𝐧𝐜𝐞́ 𝐥’𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐞́𝐞 𝐝𝐮 𝐛𝐚𝐭𝐞𝐚𝐮 𝐭𝐮𝐫𝐜. 𝐔𝐧𝐞 𝐨𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐪𝐮𝐢 𝐚𝐯𝐚𝐢𝐭 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞́𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨̂𝐭𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐯𝐨𝐬 𝐩𝐫𝐞́𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐬𝐬𝐞𝐮𝐫𝐬. 𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐜𝐞 𝐛𝐚𝐭𝐞𝐚𝐮 ?
Ministre : Pourquoi vous vous obstinez tant à voir un bateau ?
À mon avis, le besoin, c’est l’électricité, n’est-ce pas ? Que cela provienne d’une centrale thermique, de l’interconnexion ou d’une barque flottante, le plus important, c’est l’amélioration de la desserte.
Alors, je vous dis que nous sommes en train de travailler avec toutes les pistes qui s’offrent à nous dans les meilleurs délais, en prenant en considération les coûts. Si nous nous précipitons pour embarrasser une solution, vous, journalistes, serez les premiers à chanter partout.
Ils ont dépensé x millions de dollars pour ceci et cela. Il s’agit de l’argent du contribuable, donc en l’utilisant, il faut le faire avec beaucoup de raisonnement et trouver une solution durable.
𝐀𝐟𝐫𝐢𝐤𝐢𝐧𝐟𝐨 : 𝐌𝐨𝐧𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞, 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐬𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬’𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐚̀ 𝐜𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫 ?
Ministre : Il s’agit tout d’abord de mettre en place un plan de communication clair à l’endroit de la population. Une communication responsable;
Faire une forte sensibilisation au sein de l’EDG en rapport avec le syndicat des ouvriers ;
Rendre tous les travailleurs désormais responsables de la réussite versus la défaite.
– Sur le plan technique, reprendre l’entretien des thermiques et les mettre au réseau.
Pour la circonstance demander le retour de kaloum 3 à condition de tirer au moins 70% de la puissance des 2 groupes.
La centrale T Power peut produire jusqu’à 60- 65MW.
Faire appel à l’extérieur (Côte d’Ivoire, Sénégal) avec l’interconnexion des pays voisins (notons que beaucoup de pays de la sous-région sont confrontés à ce phénomène de délestage ou une baisse de la capacité de production à date).
Cela dû à une croissance exponentielle de la demande, le changement climatique avec la pluviométrie, mais aussi la construction de nouvelles centrales thermiques et solaires qu’il faut d’ailleurs privilégier.
Je le répète encore une fois, nous sommes dans l’obligation d’aller vers une transition énergétique, nous ne sommes pas un pays à part entière, le climat ne fait pas de choix ou n’accorde de faveur a personne.
Enfin, dans un délai maximum de 2 mois, la situation sera améliorée grâce à la pluie.
Au niveau d’EDG
En attendant les réformes qui sont incontournables et nécessaires et cela dans un délai à court et moyen terme, car la question de la commercialisation est une vraie préoccupation de nos jours.
EDG doit instaurer une politique commerciale solide, avec une équipe de répression de la fraude capable de traduire les fraudeurs en justice sans aucune intervention extérieure.
EDG doit communiquer et respecter ses engagements ainsi que le plan de desserte qui lui est fourni par les chinois.
Commencer déjà à maintenir le réseau en bon état avant les fortes pluies.
Évaluer l’état des charges sur les transfos qui représentent un énorme défi et le service client.
À mon niveau sans perdre de temps, le département MEHH doit, dès maintenant commencer les consultations auprès de bailleurs de fonds (BAD, BID, BM,) au niveau des guichets privés, la recherche de financements pour la construction en urgence de nouvelles puissances thermiques et solaires.
C’est possible avant avril 2025. Si nous ne le faisons pas immédiatement, nous allons revivre probablement la même situation dans quelques années.
Reprendre les négociations AVEC TBEA sur Amaria à condition que cette compagnie accepte de revoir plusieurs dispositions de la Convention, qui ne sont favorables qu’à elle seulement.
𝐀𝐟𝐫𝐢𝐤𝐢𝐧𝐟𝐨 : 𝐌𝐨𝐧𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞, 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐥’𝐞𝐱𝐩𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐜𝐞𝐥𝐚 ?
Ministre : Depuis que j’ai pris mes fonctions en tant que ministre de l’Énergie. Je travaille en étroite collaboration avec toutes les parties prenantes pour trouver des solutions urgentes. Et à long terme, du problème énergétique et de l’eau auquel font face les Guinéens, plus particulièrement la zone de Conakry.
Le déficit énergétique actuel se présente de la manière suivante :
1. Conjoncturelle ;
2. Structurelle.
Celui Conjoncturelle actuelle, se caractérise par :
1. i) Un manque de planification opérationnelle et d’anticipation dans le suivi du secteur.
Il s’agit, notamment, d’assurer à temps les entretiens préventives, au lieu de privilégier les réparations curatives ;
Le retard dans l’application du plan de production convenue. C’est à dire, la gestion 2022 a été principalement basée sur les Hydrauliques, leur apport a été de trop au détriment du thermique et ce qui a eu pour conséquence le non-remplissage du barrage avec une faible pluviométrie constatée.
La préparation de l’étiage de l’année 2024 est assurée par les stockages d’eau dans les barrages. Ainsi, à l’approche de la fin de l’étiage, la SOGES qui gère le lac de Souapiti a constaté un faible niveau d’eau dont la côte était de 200 m en fin d’année 2023, ce qui représentait un déficit de 36% du volume d’eau utile de Souapiti, entraînant une baisse drastique des disponibilités de puissance de 260 MW pour les deux centrales, contre 480 MW en 2023, soit un manque à gagner de 220 MW.
C’est pourquoi les prévisions ont été revues à la baisse, aboutissant ainsi à une puissance disponible de 240 MW pour le 1er trimestre et 220 MW pour le 2ᵉ trimestre 2024.
N.B. : Ces puissances de 240 MW et 220 MW sont celles que le couple Kaléta-Souapiti peut développer en continu sur ces deux trimestres, correspondant aux énergies mensuelles respectives de 175 et 160 GWh.
Tout dépassement de production de ces puissances entraîne un déficit supplémentaire pouvant empêcher de produire jusqu’à la fin de la saison sèche estimée au 15 juillet, marquant le retour normal de la pluviométrie.
EDG aurait dû anticiper malheureusement d’autres facteurs tels que l’explosion du dépôt d’hydrocarbures a aggravé la situation.
Un autre élément crucial est la demande croissante. L’électricité ne coûte rien et, du coup, les charges à domicile ne sont pas gérées avec intelligence. C’est ici que tu arrives chez une personne qui n’a pas de salaire fixe. Il possède 2 congélateurs, trois climatiseurs, un réchaud électrique, un fer à repasser électrique et d’autres équipements de consommation.
Et à la fin du mois, il paie 150,000 GNF. Tu as vu ça dans quel pays!
Le déficit structurel est établi depuis l’analyse du plan directeur en cours. La croissance de la demande en 2025 est prévue pour être supérieure à celle de 2020, si aucune augmentation des moyens de production n’est faite.
𝐀𝐟𝐫𝐢𝐤𝐢𝐧𝐟𝐨 : 𝐌𝐨𝐧𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫, 𝐢𝐥 𝐧𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮’𝐚̀ 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐫𝐞𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢𝐞𝐫 𝐜𝐡𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐞𝐮𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭. 𝐄𝐭 𝐬𝐮𝐫𝐭𝐨𝐮𝐭, 𝐛𝐞𝐚𝐮𝐜𝐨𝐮𝐩 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐞𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐯𝐨𝐮𝐬.
Ministre : Un grand merci à vous aussi pour le déplacement et que la population sache que nous sommes en train de tout mettre en œuvre pour améliorer cette situation.
𝐀̀ 𝐁𝐈𝐄𝐍𝐓𝐎̂𝐓