À l’occasion de la conférence de presse tenue ce samedi 28 décembre par les membres du Mouvement Démocratique Libéral MoDeL dirigé par Aliou Bah, arrêté ce jeudi 25 décembre alors qu’il se rendait en Sierra Leone.
Au cours de la rencontre qui a réuni les cadres dudit parti et les acteurs de la société civile, il était question de mettre le point sur la garde à vue du leader du MoDeL.
Présent à la rencontre, Abdoul Sacko, leader des Forces Sociales de Guinée, invite les Guinéens à se donner les mains pour lutter contre ce qu’il qualifie de violation de libertés et droits fondamentaux : Au sein des Forces Sociales de Guinée, la liberté n’est pas défendue selon le statut ou l’appartenance de celui qui est victime. Sinon je ne serais pas au siège d’un parti politique.
Mais puisque ce sont des valeurs qu’il faut défendre à tout prix, c’est pourquoi nous sommes là pour montrer responsabilité. Nous sommes ensemble dans ce combat. Nous devons travailler pour informer et sensibiliser pour dire que nous sommes condamnés à travailler pour le respect des libertés, des libertés et bien-être individuel et collectif des Guinéens. Le peuple en a besoin, et il faut qu’on travaille pour mettre fin à cette situation>>a-t-il dit avant de renchérir
<< Seul notre frère Aliou qui peut décrire la situation qu’il traverse, j’en ai été victime en 2024, je connais parfaitement cette situation.
Aujourd’hui, donc, nous devons mener une lutte acharnée contre ce que nous, puisqu’il faut le dire haut et fort, nous ne méritons pas du tout cette situation. Alors ne serait-ce que pour notre devise Travaille, Justice, Solidarité, acceptons de changer la donne>> a-t-il laissé entendre
Abou Fall pour Guineesignal.com