En réponse aux attaques infondées et malveillantes proférées par Dakar Times et le soi-disant « Torchoir Quotidien des Dakarois » à l’encontre de la gouvernance du CNRD et du Président de la République le Général Mamadi DOUMBOUYA , il est primordial de rétablir la vérité et de mettre en lumière les motivations réelles de ces diffamations.
Ces organes de presse, en manque cruel d’éthique journalistique et de crédibilité, ne sont que des instruments de manipulation destinés à alimenter une désinformation grossière et à servir des intérêts obscurs. Leur stratégie est simple : fabriquer de toutes pièces des polémiques stériles, diffamer sans preuve, et tenter vainement d’ébranler l’autorité guinéenne en usant de méthodes dignes des officines de propagande les plus malhonnêtes. Incapables de produire un travail journalistique rigoureux, ces médias préfèrent s’enliser dans des attaques gratuites, espérant ainsi capter une audience en perte de confiance.
Le plus ironique est que leur propre gouvernement a déjà réalisé l’ampleur du problème que pose une presse en roue libre. En juin 2024, le Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, a publiquement fustigé les dérives médiatiques, avertissant qu’aucun mensonge journalistique ne serait désormais toléré. Les faits sont là : des entreprises de presse ont vu leurs comptes bancaires gelés, leurs équipements saisis pour non-paiement d’impôts, et des mesures fermes ont été prises pour stopper la prolifération des informations mensongères. Comment ces mêmes médias peuvent-ils aujourd’hui se prétendre défenseurs de la vérité et de la justice lorsqu’ils sont eux-mêmes impliqués dans des pratiques douteuses ?
Le plus ironique est que leur propre gouvernement a déjà réalisé l’ampleur du problème que pose une presse en roue libre. En juin 2024, le Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, a publiquement fustigé les dérives médiatiques, avertissant qu’aucun mensonge journalistique ne serait désormais toléré. Les faits sont là : des entreprises de presse ont vu leurs comptes bancaires gelés, leurs équipements saisis pour non-paiement d’impôts, et des mesures fermes ont été prises pour stopper la prolifération des informations mensongères. Comment ces mêmes médias peuvent-ils aujourd’hui se prétendre défenseurs de la vérité et de la justice lorsqu’ils sont eux-mêmes impliqués dans des pratiques douteuses ?
Plutôt que de s’acharner sur le président guinéen et sur les avancées notables du pays, ces médias devraient prendre du recul et s’interroger sur leur propre déroute morale. Car pendant qu’ils tentent en vain de ternir l’image de la Guinée, la réalité est tout autre : le peuple guinéen soutient massivement son président et reconnaît les efforts colossaux fournis pour la refondation et le développement du pays.
Les campagnes de désinformation orchestrées par ces journaleux en perte d’influence ne changeront rien à la marche de la Guinée vers le progrès. Ce n’est pas en publiant des articles biaisés et en relayant des mensonges qu’ils freineront l’élan du pays. Au contraire, la République de Guinée poursuit son chemin avec détermination, guidée par le leadership fort et visionnaire du Général Mamadi DOUMBOUYA, et aucun média manipulé ne pourra altérer cette trajectoire.
Les campagnes de désinformation orchestrées par ces journaleux en perte d’influence ne changeront rien à la marche de la Guinée vers le progrès. Ce n’est pas en publiant des articles biaisés et en relayant des mensonges qu’ils freineront l’élan du pays. Au contraire, la République de Guinée poursuit son chemin avec détermination, guidée par le leadership fort et visionnaire du Général Mamadi DOUMBOUYA, et aucun média manipulé ne pourra altérer cette trajectoire.
En définitive, une presse digne de ce nom doit être un véritable contre-pouvoir constructif et non un outil au service de la manipulation. Le peuple guinéen n’est pas dupe. Il sait faire la différence entre une critique objective et un acharnement médiatique dicté par des intérêts étrangers. L’histoire jugera ceux qui, sous couvert de journalisme, préfèrent la désinformation et l’intoxication à la vérité et à l’intérêt général.
Alamina BALDE
