A travers le brillant résultat de son action et le magnifique couronnement de ses initiatives dans le domaine de la réforme et de la promotion d’une meilleure gouvernance budgétaire, l’on peut écrire sans risque d’être démenti par les personnes de bonne foi que si le jeune ministre Ismaël Dioubaté force le respect et l’admiration dans la galaxie gouvernementale du président Alpha Condé, c’est qu’il a du mérite. Et cela doit se savoir.
Il était donc temps que l’on mette à contribution la locution latine selon laquelle « verba volant, scripta manent » en français : « la parole s’envole mais l’écrit reste », pour noter dans ces lignes ce qui me paraît important de montrer au public qui reste et demeure, après le Premier ministre et le chef de l’Etat, le seul véritable bénéficiaire et l’unique juge légitime des actes que pose le jeune ministre Ismaël Dioubaté sous les directives du Premier ministre chef du gouvernement et du président de la République.
Qu’est-ce à dire ? En termes simples, et c’est bien là l’objet de cet article, si le jeune Ismaël Dioubaté pose des actes tangibles et appréciés par les experts de son domaine, ses collaborateurs directs et leurs collègues des autres départements techniques et stratégiques, ce n’est pas rien.
Cependant, pour la visibilité et l’image de marque du gouvernement, cela ne doit pas du tout rester seulement entre les quatre murs du Ministère du Budget ou encore du palais présidentiel. Cela mérite d’être porté à la connaissance du grand public dont l’avis compte.
D’ailleurs, cela s’inscrit en droite ligne dans le nouveau concept « Gouverner autrement » bien que les résultats dont il s’agit ont commencé à faire parler pendant le second semestre 2018, c’est-à-dire, quelques mois seulement après sa nomination au poste le 18 mai 2018.
Au point que les experts l’ont surnommé « Ministre réformateur ». A raison.
En effet, ce banquier de formation avait pour mission de prôner la « tolérance zéro » au sein de ce département ô combien incontournable dans la marche de l’Etat ! Sa première action a été de proposer désormais « des procédures d’exécution des frais de mission à l’extérieur en lien avec les rôles des ministères sectoriels et autres acteurs impliqués ».
Dans ce cadre précis, le jeune ministre Diabaté a pris des dispositions qui ont eu pour résultat de discipliner les procédures des voyages officiels et des missions à l’étranger afin de « rationaliser les déplacements par une meilleure planification correspondante aux ressources disponibles appelées à être judicieusement utilisées dans la cadre de la réduction de la dépense publique et de la politique d’élimination de toutes les sources de coulage financier ».
Suivant les orientations et instructions données, expressément, par le président de la République, il a donné corps et âme au projet « e-Services Publics Guinée » dont le résultat a été la dématérialisation totale du paiement des démarches administratives en République de Guinée. Résultat, tout a été digitalisé.
L’impact est incommensurable.
A l’heure du numérique, c’est grâce à cette réforme audacieuse menée sans grand bruit que la Guinée est citée aujourd’hui comme une référence sous-régionale dans l’offre et la qualité des services publics.
Jusqu’à preuve du contraire, le chronogramme de mise en œuvre de tout cela prendra fin en mars 2022. Il passe par la création des équipes-projet jusqu’à l’interconnexion avec les partenaires de paiement et aux tests.
Là-dessus, les témoignages de ses proches collaborateurs, des experts, spécialistes et observateurs avertis de la gestion du portefeuille ministériel à sa charge, concordent à dire qu’à cœur vaillant rien d’impossible.
A mon tour, je valide. Puis, je conclus: le jeune et vaillant ministre Ismaël Dioubaté est à la hauteur de la tâche.
Ibrahima Diallo,
journaliste et écrivain,